Nov 172005
Elle avait tout pour lui plaire
Il avait tout pour lui plaire aussi
Mais elle habitait à Bécon-Les-Bruyères
Et lui demeurait à Bercy
Il suffisait qu’le dieu de l’amour
Les fissent se rencontrer
Cette rencontre eut lieu un beau jour
J’vais vous la raconter
Ça s’est passé un dimanche
Un dimanche au bord de l’eau…
Il avait tout pour lui plaire aussi
Mais elle habitait à Bécon-Les-Bruyères
Et lui demeurait à Bercy
Il suffisait qu’le dieu de l’amour
Les fissent se rencontrer
Cette rencontre eut lieu un beau jour
J’vais vous la raconter
Ça s’est passé un dimanche
Un dimanche au bord de l’eau…
Bécon les Bruyères, ça sonne plutôt bien, comme cette chanson interprétée par Maurice Chevalier. Pourtant ce n’est pas même une commune, juste un quartier écartelé par d’affreuses voies ferrées à cheval sur Bois-Colombes, Asnières et Courbevoie. Boudant exceptionnellement le casse-croûte avec les collègues, je me dirige seul vers l’antique Curva Via avec le dessein de me rendre moi aussi au bord de l’eau.
Le parc de Bécon qui surplombe la Seine à un quart d’heure à pied de SOS Sahel est un espace désert et triste meublé d’un cirque abandonné et d’un manège aux armes de la ville. Une formule que le maire reprend de manière bien prétentieuse comme titre de son blog : chemin sinueux, esprit droit. N’est-ce pas mission impossible pour un homme politique ?
Le parc de Bécon qui surplombe la Seine à un quart d’heure à pied de SOS Sahel est un espace désert et triste meublé d’un cirque abandonné et d’un manège aux armes de la ville. Une formule que le maire reprend de manière bien prétentieuse comme titre de son blog : chemin sinueux, esprit droit. N’est-ce pas mission impossible pour un homme politique ?