Georges Corm, dans Le Liban doit s’émanciper, partage mon point de vue sur les risques pour le Liban et la Syrie d’une internationalisation à outrance de la question. Ce qui ne me rassure pas du tout bien au contraire.
Avec la résolution 1636, les Syriens ont rejoint les Libanais dans l’anxiété sur le sort réservé à leur pays. On rappellera ici que la Syrie, avant de se hisser au rang de puissance régionale sous la conduite habile, mais cruelle, d’Hafez El-Assad, dans les années 1970, avait été le pays le plus instable de la région, en proie aux divisions entre factions, entre communautés, sur fond d’oppositions sociales aiguës.
A l’Association, Projis en est déjà ce lundi à son troisième comité de pilotage où Junior présente un prototype d’un timide premier lot. Du concret, c’est rassurant et ça donne des idées plus précises pour concevoir les lots suivants (en ergonomie par exemple, automatismes d’Access…). Débat sur la représentation de l’équilibre financier des projets de développement. On s’accorde sur un mode d’historisation et la capacité de l’outil à fournir des soldes entre financements acquis, budgets, dépenses connues, virements effectués
- à la date du jour,
- dans le passé
- voire en projection si les échéanciers financiers sont correctement renseignés.
Une piste pour faciliter l’épineuse et critique question de la gestion prévisionnelle de la trésorerie à l’ordre du jour de toutes les associations… et de bien des entreprises !