Voilà de retour une matière très scolaire : l’anglais et ce tous les mercredis que dieu fait jusqu’à fin avril. Ça fera le plus grand bien. Pas de groupe de niveaux. Si je suis loin d’être le meilleur j’ai la modeste satisfaction de constater que je ne suis pas le plus mauvais non plus. L’enseignement de l’anglais en France n’a donc guère progressé depuis toutes ces années et mes révisions de l’automne n’ont pas été inutiles. Dans les degrés d’apprentissage d’une langue : scolaire, survie, courant, professionnel je me situe entre la survie et le courant. Donc encore loin de pouvoir rédiger des dossiers en Shakespeare natif mais assez pour exprimer ce que je veux.
Dommage car c’est diablement important pour mon nouveau métier. Il faudra vite prévoir une immersion – pas trop exigeante néanmoins – dans un pays anglophone. Voilà de quoi orienter le stage 2.
En attentant notre enseignante nous parle exclusivement en anglais, sans accent malgré son origine galloise. Au menu des cours : du vocabulaire (humanitaire), des exposés, des résumés, de la prise de note, des articles et beaucoup, beaucoup d’oral.
Fév 152006