Avr 022006
Téléphone, « comment ça va ? », commande, courses, livraison, popote parfois, papote toujours, retour au domicile… en moins d’une semaine le pli du parfait garde-malade est pris. Plutôt amusé par ce nouveau rôle d’une convalescence dont le dénouement s’annonce heureux, je ne peux m’empêcher de penser à ceux qui plus gravement assistent des années durant un parent ou un proche sans espoir de guérison.