Oct 252006
 

L’été est bien là mettant brutalement fin à six mois d’un hiver si délicieux qu’on l’appelerait printemps chez nous. Chaleur lourde et moite, soleil haut, vertical et implacable. Au bureau comme dans les maisons chaudes et étouffantes on cale sa chaise dans le moindre courant d’air et on limite les mouvements au stricte nécessaire. On ne respire un peu que la nuit tombée. “Et plus que l’air marin la douceur angevine” A moi du Bellay !