Août 302007
 

Je range avec émotion mon 300D qui a marqué une révolution dans la photographie comme premier réflexe numérique abordable et qui m’accompagne depuis un voyage à Alger en novembre 2004. Il était temps. Le boîtier montrait les premiers signes d’usure et le capteur affichait de petits grains de poussières qui entachaient ciels bleus et mers turquoises. Et puis surtout la gamme Canon a bien évoluée en trois ans.
Il y a dix jours la firme japonaise annonçait même la sortie de son 21 Megapixel (!), l’EOS-1Ds Mark III à 8000 € ainsi qu’un EOS 40D à 1300 €. Le 400D, version entrée de gamme du semi-pro 40D, vieux déjà d’un an entrait en fin de cycle de vie et se négociait dès lors à 550€ chèque Canon déduit ce qui en fait une très bonne affaire. Je gagne ainsi :

  • 4 millions de pixels supplémentaires
  • un système autonettoyant pour le capteur
  • un viseur 9 points contre 7
  • d’un processeur DIGIC II Rafale 27 photos contre 4
  • d’un écran large et lumineux
  • d’un boîtier tout plastique certes mais léger
  • d’une taille compacte pour un réflex

Pour profiter de telles améliorations il va falloir trouver un objectif plus lumineux que celui du 300D. On trouve d’intéressants zooms tout terrain, des 28-200 mm chez SIGMA par exemple.


(*) Digital Photography Review : un excellent site consacré aux boitiers photos.