Jan 302008
Sur le même thème qu’hier, on lira avec intérêt le texte de Régis Debray publié dans le Monde courant novembre. Il rapproche l’humanitaire de type Zoé du néo-conservateur américain, Zorro victime de « cécité anthropologique« , de la « surestimation outrancière de ses propres valeurs « . « Un Juste peu judicieux, qui préfère la morale au droit international, l’émotion aux atlas, le 20 heures aux livres d’histoire, et l’image de soi à la réalité des autres. » En prolongeant le trait on trouverait dans cette description de quoi définir le néo-voyageur…
Régis Debray : “Zoé et Zorro, le néo-bon et le néo-con”, Le Monde, 23 novembre 2007.