Le musée de la ville (ex. eco-musée) est le complément indispensable de la visite.(**) Il présente un appartement-témoin des années 70 qui ravira les amateurs de ce design au moment où il devenait fait de société (déco orange, canapé, moquette, chaîne hi-fi, mixer…) L’espace permanent nous invite à remonter le temps de ce grand parc royal destiné à alimenter en eau Versailles, morcelé en bourgs agricoles à la Révolution avant de se développer massivement avec la création de la Ville nouvelle en 1969. On y apprend que Saint-Quentin-en-Yvelines n’est pas une commune, mais une communauté d’agglomérations de 7 communes, chacune gardant sa personnalité et que la ville nouvelle, , une des cinq que compte l’Île de France, est officiellement terminée depuis 2002. Avec 100 000 emplois dont la plupart dans le tertiaire pour 150 000 habitants et 40% d’espaces vert et de plans d’eau, le bien-être perceptible s’explique facilement.
(*) Paris-Montparnasse – Saint-Quentin-en-Yvelines par ligne SNCF Rambouillet ou RER C. Dépliant-itinéraire disponible au bureau d’information de la gare de Saint-Quentin. Compter une journée pour une visite piétonne des principaux sites et du musée.
(**) Musée de la ville.
[geo_mashup_map zoom= »8″ center_lat= »48.85″ center_lng= »2.34″]
Pour citer cet article (format MLA) : Traynard, Yves. « Une autre vi(ll)e est possible ». ytraynard.fr 2024 [En ligne]. Page consultée en 2024. <https://www.ytraynard.fr/2008/09/une-autre-ville-est-possible/>