Fév 282009
Rien n’arrête les Baodinois. Ni le froid, ni la brume. Et les aînés plus encore que les jeunes bravent chaque jour le frimas pour se retrouver le long du canal. Ils jouent aux cartes, se font coiffer, entonnent des chants ou taquinent leurs oiseaux par zéro. Cette ville est décidément pleine d’énergie.
(*) De gauche à droite : le Sheng (orgue à bouche) et trois instruments à cordes frottées (famille des hu). Hors champ, la chanteuse et la percussionniste.
(**) Simple tracé à l’eau sur le sol clair.