Déc 192009
 
Pékin,  Cité interdite (c) Yves Traynard 2009

Pékin,  Cité interdite (c) Yves Traynard 2009
Il était temps. J’allais quitter Pékin sans avoir visité, ni la Grande muraille, ni la Cité interdite. Condamné à monter à la capitale pour affaires, j’ai profité du week-end pour combler cette lacune. Par un froid mordant, mais sous le ciel bleu et sans la foule estivale.
La Cité interdite est effectivement à la mesure de l’empire dont elle était le centre politique : immense. Outre l’architecture, impressionnante par son ampleur plus que pas sa réalisation, on ne manquera pas quelques-unes des somptueuses salles consacrées à la céramique, aux jades, aux bronzes. Avec ses multiples cours, ses jardins ombragés, ses impératrices et ses concubines, il flotte ici un air de Topkapi.