Sep 152012
Quelques heures ont suffi à l’artiste pour peindre sur une sous-couche rouge ses classiques couronnes d’entrelacs noirs.
Le 42 Ramponeau a définitivement succombé à la mode du graff’ qui a submergé la rue Dénoyez.
Quelques heures ont suffi à l’artiste pour peindre sur une sous-couche rouge ses classiques couronnes d’entrelacs noirs.
Le 42 Ramponeau a définitivement succombé à la mode du graff’ qui a submergé la rue Dénoyez.