Sans voix

Ce journal est resté deux semaines sans voix. Un peu abasourdi par ce plongeon brutal dans la vie parisienne après des mois d’isolement en terre australe. Et puis le voyage dans une Istanbul tout à la fois trépidante et mélancolique n’a fait que repousser ce face à face avec moi-même indispensable pour tirer un bilan de cette année de formation et dessiner un futur. Le cap du nouvel an sera donc consacré à la réflexion. En attendant je vous livre mes impressions accumulées dans les cartes mémoire de mon Palm et de mon Canon.